jeudi 7 avril 2011

Présentation des auteures

Bonjour à tous et bienvenue sur notre blogue.
Nous sommes présentement étudiantes en gestion de commerce au collège Montmorency et nous en sommes déjà à notre dernière session. Nous sommes deux femmes possèdent beaucoup de leadership et voulons faire carrière sur le marché du travail dans la gestion d’entreprise. Nous sommes dynamiques et voulons un travail qui nous permettra d’avoir un contact constant avec le public. Marie-Claude : Je veux me spécialiser dans la gestion hôtelière et partir mon propre restaurant. Maude : Je veux me spécialiser dans le marketing et les relations publiques et diriger une entreprise.
Dans le cadre d’un cours sur le commerce dans un contexte de mondialisation avec notre professeure Amélie Raymond, nous devons créer notre propre blogue sur un sujet qui fait référence à l’actualité mondiale.  Les pays font de plus en plus d’importation et d’exportation envers les pays pour subvenir à leurs besoins. Nous devons donc nous informer sur ce qui se passe ailleurs dans le monde pour pouvoir bien s’adapter au marché international. En tant que consommateurs nous devons être au courant du fonctionnement des industries.
Le sujet qui a capté notre attention est les vêtements, car en plus de notre intérêt pour notre future carrière nous avons un grand intérêt commun pour le domaine de la mode. Nous allons donc nous attarder du début de la chaîne de production jusqu'à la vente auprès des consommateurs. Beaucoup d’éléments touchent le commerce du textile et peuvent faire places aux débats. Notre objectif, trouver les informations les plus intéressantes afin de vous informer de ce qu’il se passe dans le monde. On va à notre tour apprendre les éléments cachés sur ce sujet qui sont parfois illégaux ou contre les droits de l’homme. Nous allons découvrir ensemble une nouvelle facette de la mode qui va nous solliciter à consommer autrement.

Les algues mélangées au bois

« Fabriquer du textile à partir d’algues, de cellulose et de pâte de bois, il fallait y penser ! Des années de recherches ont été nécessaires afin de mettre au point la SeeCell. Très confortable, cette matière a même des impacts positifs sur la santé parce qu’elle permet notamment de lutter contre les inflammations musculaires. Qui plus est, elle transmet même du calcium et du magnésium à l’organisme une fois le vêtement enfilé. Pour finir, elle absorbe et rejette même l’humidité. » Qui aurait pensé qu’un simple textile appelé SeeCell aurait pu amener des biens faits au corps humain qui le porte. Ce textile innovateur n’est plus qu’un simple article qui couvre le corps, mais la solution qui permet de lutter contre des inflammations musculaires, donc qui soulagera constamment les douleurs musculaire de façon naturel. Ce textile sera dans un futur proche la solution pour résoudre les problèmes d’économie dans les pays comme la chine, le japon, l’Etats-Unis, le Royaume-Uni, la France et sans oublier le Canada. Ce textile révolutionnaire serait une autre manière pour le Canada d’exploiter ses ressources naturelles de façon profitable, puisque nous possédons ces deux matières premières en grande quantité, le bois et l’algue. En plus d’être facile d’accès, ce textile serait très facilement commerciale à l’échelle internationale à cause de c’est bien fait pour le corps humains, son aspect de pourvoir absorber et rejeter l’humidité et son confort incontestable.
















http://www.acteurdurable.org/biocarburant-algues.html

La fabrication de la soie internationalement

« L'histoire de la soie débute selon la tradition chinoise au XVIIe siècle av. J.-C. et se poursuit avec trois millénaires d’exclusivité durant lesquels la Chine commerce ce tissu précieux sans jamais en transmettre le secret. L’art de fabriquer la soie s’est ensuite progressivement transmis aux autres civilisations grâce à des espions de tous genres (moines, princesses ...) aux pillards et aux marchands. Elle consiste en l'ensemble des opérations de culture du mûrier, d'élevage du ver à soie pour l'obtention du cocon, de dévidage du cocon et de filature de la soie. » IL y a 7 étapes à la méticuleuse fabrication de la soie qui est livré à travers le monde, dont la première est le décoconnage. Cette première étape commence avec 8 jours de fabrication du cocon fait par les vers qui sont par après cueillis et triés. La deuxième est l’étouffage qui consiste a étouffé les cocons  dans une fournaise de 70 à 80c et après les cocons sont déposés dans de l’eau bouillante pour que le grès ramollisse. Cette technique permet de tuée l’insecte sans abîmer le cocon. La troisième étape est la filature qui consiste a trouver l’extrémité de chaque fil en remuant constamment les cocons avec une paille et de faire refroidir pour solidifier les fils. Par la suite, enrouler le fil sur des dévidoirs jusqu'à temps qu’on obtient 8 à 10 kg. La quatrième est la préparation du fil qui passe au moulinage pour subir des torsions pour renforcir et maximiser la qualité le textile. La cinquième est le décreusage qui consiste a faire bouillir dans l’eau savonneuse pour éliminer le grès. Après cette étape on peut maintenant appliquer la sixième étape la teinture de n’importe quelle couleur désiré. Et finalement la septième étape, le tissage qui assimile le textile en l’enroulant sur un tambour pour pouvoir faciliter le travail à la chaîne ou production. Par la suite elle est dévidée sur un cylindre qui sera placé dans la navette pour tisser la trame finale.




http://www.neomansland.info/2007/01/le-dilemne-environnemental-du-coton/

Autant de crédibilité que Tiger Woods

«De puis, l'entreprise a pris les devants en tentant de donner l'image d'une entreprise consciente de ses responsabilités sociales. Elle a récemment accentué ses efforts pour imposer des normes de travail communes chez ses sous-traitants. Toutefois, en septembre, le géant avait dû payer 1,5 million de dollars pour régler à l'amiable des poursuites pour publicité mensongère, en relation avec une campagne publicitaire du fabricant vantant des conditions de travail responsables dans ses usines à l'étranger. » Ce que l’on retrouve dans ce rapport ou cette multinationale, Nike, avoue que les conditions dans lequel les travailleurs sont soumis dans ces usines peut y être répétitif et difficile. Sa ne s’arrêt pas là, on ajoute aussi que la très grande majorité des emplois dans ces usines sont repartit à des gens qui sont non-qualifié a exécuter les taches reliés au poste qu’ils occupent. De plus, contrairement au publicité mensongère de Nike,  l’harcèlement verbal figure toujours l’un de leurs problèmes le plus communément rencontrés dans les usines. Sans oublier qu’il a de grande chance que l’harcèlement sexuel existe également, mais ceci est un sujet tabou parmi t’en d’autre provenant des usines de Nike. Bref, après qu’une simple aperçue du rapport, il est déjà évident que le gérant, Phil Knight, est pareil comme tous les autres hommes d’affaire qui mise uniquement sur l’argent et profite de ses travailleurs extrêmement pauvre et pas éduqué. Cet homme devrait allé en prison pour tous les crimes et laisser passer qui tolère dans ses usines, car des gens avec ses aptitudes et réflexions de ce genre ne changeront jamais!


 



Source photo : http://www.funnycoolstuff.com/tag/tiger-woods/

Le nombre d’usines de sous-traitance relié au textile par Nike

« La première firme d'articles de sport au monde publie une liste détaillée des conditions de travail dans ses 704 usines de sous-traitance à travers le monde. Après des audits menés dans 569 usines en 2003 et 2004. La Chine est le pays où Nike possède le plus d'unités de sous-traitance, avec 124 usines. Viennent ensuite la Thaïlande (73 usines), les Etats-Unis (49), l'Indonésie (39), la Corée du Sud (35), le Vietnam (34), la Malaisie (33), le Sri Lanka (25), le Japon (22), le Mexique (20), le Portugal (20), Taïwan (19) et l'Inde (18). » 704 usines de sous-traitance uniquement à cause de Nike, littéralement à travers la planète,  laisse ma collègue et moi complètement estomaquées. Ceci veut dire que des milliers et milliers de travailleurs ont souffert à cause de cette industrie qui n’a aucune reconnaissance et dignité, tout dans le but d’augmenter les profits. Et de déduire par les médias que ceci ce passe dans des pays lointains et en faible quantité, ce qui est complètement de la foutaise, si on se base sur les faits de la citation plus haut. L’image de Nike est pour tout jamais aux yeux du monde entier, la compagnie la plus dégoûtante, sale, hypocrite, sans aucun sens éthique, profiteuse, néfaste à l’humain et qui n’est pas fiable car le dirigeant ment sans cesse. Bref, n’importe qu’elle compagnie ou individu qui fait affaire avec Nike sera perçu et identifié de la répugnante réputation de Nike. ( P.s. j’adore le fait que le petit gars, allusion au jeune travailleur dans une des usines, fasse pipi sur Nike ! Just do it! )


Source citation:http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/economie/20050414.OBS3972/nike-joue-la-transparencesur-ses-usines.html
Source photo: http://www.papygeek.com/design/100-publicites-pas-comme-les-autres/attachment/nike-just-do-it/

Textile marocain

« Le jeans marocain souffre de la concurrence tunisienne et turque. Les exportations de jeans ont connu un repli de 7% cette année par rapport à 2009, rapporte La Vie Eco. Et ce, bien que le chiffre d’affaires du secteur avoisine les 7 milliards de dirhams, soit environ 22% des exportations du textile marocain. Ce manque de compétitivité par rapport aux produits tunisiens et turcs s’explique par l’innovation dont ont fait preuve ces concurrents. Contrairement aux industriels marocains qui ont plutôt misé sur les prix. » Pour que l’industrie de textile marocaine puisse reprendre le plus possible le 7% perdu depuis 2009 par la concurrence tunisienne et turque, nous croyons que les dirigeant devrait tout simplement ce bâtir un nouveau plan d’attaque qui vise l’innovation de leur textile. De plus, s’il gardait leur ancienne stratégie de  vente qui était d’offrir au commerce internationale les prix les plus bas possibles, le marché du textile au Maroc, ne pourrait que reprendre ce qui était a lui et même plus. Puisque l’Espagne est le plus gros client du textile marocain, il serait facile de pouvoir innover, s’entendre et créer des nouveaux textiles ou méthodes de fabrications du textile, à cause de la richesse énorme et l’innovation des tendances ans fin de l’Espagne. Les marocains verraient cette opportunité comme un investissement gagnant qui est peu risqué et une chance de pouvoir créer une toute nouvelle force indestructible contre les tunisiens et les turques.
                  
                          


Source citation : http://www.yabiladi.com/mobile/details/3523

Le coton 100% biologique

« Le coton est cultivé sans pesticides ni autres produits chimiques, et ne subi aucun traitement chimique ou au chlore lors de sa transformation, teinture y compris. Grâce à la méthode écologique innovante utilisée pour traiter le tissu, notre gamme Bio est non seulement de très bonne qualité, hypoallergénique et extrêmement douce, mais elle préserve aussi l'environnement, de la 1ère fleur de coton cueillie au produit fini. » Puisque le coton régulier est abusivement arrosé d'engrais et de pesticides synthétiques en contaminant  ou en stérilisant des milliers d'acres de terres agricoles, l’industrie du textile à travers le monde on pris la décision de commencer à travailler avec le coton biologique pour sauver la planète. Les compagnies internationales qui vendent des vêtements à base de coton 100% biologique sont : Levi’s Strauss, Veja, MEC, American Apparel, La maison Simons, Mavi jeans, Mountain Equipment,etc. Le pourquoi ses compagnies prennent le coton biologique à la place du coton chimique est pour une multitude d’avantage vers la planète. En voici : la culture du coton bio restaure la fertilité des sols et l’équilibre des écosystèmes, le coton est produit dans le cadre d’un développement durable pour ceux qui le cultivent, amélioration de leur santé, diminue l’endettement causé pas l’achat de pesticides, la fibre de coton biologique est plus souple et plus douce et de meilleure qualité et il est hypoallergène.



Go chanvre go !

« Les fibres de chanvre sont beaucoup comme le coton, toutefois, sont trois fois plus forte. Il est si absorbant qu'il est utilisé sans danger dans les couches pour les nourrissons et les adultes. Le chanvre est également une plante beaucoup heartier et a de nombreuses propriétés utiles pour l'industrie textile. Les fibres sont naturellement résistantes à la moisissure, le mildiou et d'autres formes de pourriture. Aussi, il succombe à peine à la lumière ultra-violette que la plupart des autres fibres ferait. » Bref, les fibres de chanvre ont tellement de propriétés enviables et désirables que l’industrie du textile au niveau internationale s’en serve de plus en plus. Si l’usage des fibres de chanvre continue d’augmenter, dans quelques années ont pourrait éliminer les énormes quantité de pesticides et insecticides arrosés sur les champs de coton régulier qui cause des dommages à l’homme et à la faune. Les avantages sont nombreux au port d’un vêtement à base de chanvre. C’est un fibre qui est très facilement colorable du a sa capacité d’absorption, alors le choix de couleur est très divers. De plus, ce textile crée des morceaux de vêtements isolants parfaits pour des températures d’automne et d’hiver. Le chanvre à même des effets durables et renouvelables, tout en étant doux envers la terre et tout ce qui est dedans. Il retient même les rayons U.V. à 95%, donc il est un textile qui protège l’utilisateur nettement plus que les fibres réguliers. Le seul point faible des fibres de chanvre, c’est son confort. Il doit être mélangé avec d’autres fibres naturelles pour avoir un produit fini concurrent et pratiquement imbattable. Il n’est pas surprenant que les entrepreneurs et très avangardistes chinois, possèdent présentement la plus grosse usine de textile de chanvre au monde.

                 
http://blogs.ionis-group.com/iseg/strasbourg/sport/2010/04/le-marche-du-bio-1.html


Une innovation tendance et écologique du textile délavé

 « Grâce à cette méthode, le vêtement brûlé au laser n'est plus responsable du gaspillage de cette dernière. En effet, le laser permet d'économiser 97,5 % d'eau. Plus concrètement, le Wattwash nécessite seulement 5 litres d'eau, quand la technique aqueuse, le Stonewash, en utilise 150. » Marithé et François Girbaud , une couple qui est maintenant reconnue mondialement dans l’industrie du textile pour le système révolutionnaire du dévalement écologique de jeans prêt-à-porter. Cette toute technique coller sur le jeans est écologique à cause de son utilisation de la lumière (laser) à la place d’utiliser des litres et des litres d’eau.  Avant que le couple intervienne à l’industrie du textile internationalement avec leur technique, juste deux techniques étaient usées. La première technique anciennement utilisé, était très mal vue et qui a subit beaucoup de controverse, était le sablage. Le sable était expulsé sur le jean à une vitesse excessivement rapide, alors avec le temps cela à fini par attaquer les poumons des ouvriers de l'industrie textile. Certaines associations estiment que des dizaines de milliers d'ouvriers seraient contaminés par cette technique, voila pourquoi la controverse. La deuxième technique, Stonewash, prenait la matière première l'eau, comme expliqué plus haut dans la citation. Cette technique utilisait l’eau en la gaspillant uniquement pour un simple style de mode sur les jeans. Par contre, la nouvelle technique du couple ne met pas en danger les travailleurs et respect l’environnement en utilisant que le 5 litres d’eau pour préserver cette ressource vitale. Voila une amélioration dans l’industrie du textile à l’échelle internationale.


Source photo : http://www.generation-bruxelles.com/nos-articles.php

Enfants maltraités dans le commerce international du textile

« Chaque année, la maltraitance des enfants est responsable de 31.000 décès et d’un très grand nombre de blessures physiques ou émotionnelles. 20 % des femmes et 5 à 10 % des hommes déclarent avoir subi des violences sexuelles dans leur enfance, et 25 à 50 % des enfants déclarent être physiquement maltraités, une maltraitance qui altère à vie la santé physique et mentale des petites victimes. » Toutes ses formes de maltraitance envers des enfants âgés de moins de 18 ans, comprennent des traitements physiques ou affectifs, d’agressions sexuels, des traitements de négligence ou d’exploitation commerciale, provoquant un mal réel ou à risque pour la santé de l’enfant, dans certain cas sur sa survie, sa tenue, son éducation, etc. Ces pourcentages qui réveillent une rage en nous ne compte même pas la proportion de décès causer par les mauvais traitements dit « accidentel » par une chute, des brûlures ou des noyades. Un mot, aberrant! De plus, on peut compter plus d’une dizaine de pays à travers le monde qui pratiquent la maltraitance envers leurs jeunes travailleurs, tout cela dans le but de pouvoir rendre leur textile le plus profitable possible du à la compétition internationale. Il faut que sa change ! Les gens sont de plus en plus informés du au multiples médias de ce qui se passe d’un bout à l’autre du monde, alors pour que les gens ne boycottent pas leurs produits, il faut que les grandes entreprises du textile élimine la quête de couper dans les ressources humaines et les salaires des travailleurs.


 
http://www.acteurdurable.org/biocarburant-algues.html

mercredi 6 avril 2011

L'industrie du textile en Europe

« En 2005 l'industrie textile des 25 pays de l'Union européenne comptait 154 866 entreprises employant 2 218 729 salariés. Le secteur réalisait un chiffre d'affaires de 198 milliards d'euros et investissait 5 milliards d'euros.»
Comme nous le savons, l’Europe est présentement en déficit commercial, car  on y importe beaucoup plus de marchandises qu’on en exporte et ce pas uniquement dans les produits de textiles, mais en général. Avant les dernières baisses, les importations de produits textiles représentaient 71,440 milliards d'euros et les exportations 35,797 milliards d'euros, soit une balance commerciale déficitaire de 35,643 milliards d'euros. À cause de cette situation, l’Europe perd encore de plus en plus d’emplois et moins de travailleurs réussissent à trouver des emplois dans l’industrie du textile. Maintenant l’industrie à beaucoup changé, les pays qui ont pris le dessus dans l’industrie du textile sont bien évidemment la chine qui détient plus de 22 % du marché, la Turquie avec 16% et l’inde avec 11%. À l’inverse, ceux qui en consomment le plus sont les États-Unis qui exportent pour plus de 13% de ce qui est vendu dans le monde, la Roumanie avec 10% et la Turquie avec 7%. Il est dommage que ce continent n’exporte pas plus de produits relativement à l’industrie du textile, car on y retrouve la capitale de la mode et il serait bien intéressant pour tous les grands consommateurs de vêtements d’avoir plus de facilité à se procurer des produits de qualités qui sont à la fois très tendance.

Source photo : http://www.aufeminin.com/mode-femme-et-moi/enquete-mode-sondage-comportements-achat-d16569.html

Pourquoi importer de chine

« Pourquoi importer en chine, il y a plusieurs raisons à cela. Tout d’abord, l’environnement du travail en Chine est beaucoup plus souple que celui que nous pouvons connaître en France par exemple. Ensuite, la Chine devient de plus en plus compétitive grâce à un niveau de qualité de ses produits de plus en plus élevé. Enfin, ses compétences techniques et le savoir-faire de ses ingénieurs lui permettent de revenir dans le sillon de ses principaux concurrents. »
Mentions tout d’abord que la chine est un pays très nombreux ce qui leur permet d’avoir plusieurs avantages sur d’autres pays surtout par rapport à la production. On estime que la Chine à de disponible plus de 300 millions d’ouvriers prêts à travailler souvent pour gagner le plus possible d’argent. Étant donné que les conditions de travail dans ce pays sont plus souples, cela permet aux employés de travailler 7 jours sur 7, et ce,  51 semaines par année grâce au bon roulement d’employés qu’il y a dans les compagnies. Ce qui est très bon comparativement à d’autres pays. Pour ce qui est de la qualité des produits, la chine commence de plus en plus à rattraper celle de l’Europe ce qui est un bon point pour ce pays, car la qualité devient un atout important sur le marché mondial. Ceci est dût au fait que l’Europe est le premier client de la chine donc, ils se sont fixé un objectif de qualité à respecter autant pour l’Europe que sur l’échelle mondiale et s’habituent aux demandes et au niveau de qualité requise. Ils sont donc plus aptes à pouvoir répondre à la demande que les autres pays qui sont encore rendus au stade de produire pour le moins cher possible et négligent la qualité. Finalement, la chine est dotée d’une industrie qui à des capacités technologiques performantes. La chine porte bien son nom par rapport à leur innovation et à leur côté avant-gardiste. Le pays investit beaucoup d’argent dans la recherche et développement ce qui leur permet d’être en avant sur plusieurs pays. Alors sur le marché Mondiale la chine se place à une très bonne position pour ce qui est des importations c’est pourquoi de plus en plus de compagnies internationales voudront faire affaire avec ce pays.



Source information : http://gcbsourcing.com/Fr/Blog/import-export-chine/pourquoi-importer-de-chine Source photo: http://www.acheter-en-chine.com/acheter-en-chine/quoi-acheter-en-chine

Les plus grands exportateurs et importateurs de textiles

« En un quart de siècle, la répartition géographique de la production dans les industries du textile, de l'habillement et de la chaussure s'est profondément modifiée. De ce fait, l'emploi dans ces branches d'activité a fortement diminué en Europe et en Amérique du Nord et a augmenté dans des proportions non négligeables en Asie et dans d'autres régions du monde en développement. »
Si l’on se fie à la dernière donnée statistique, nous pouvons constater que la Chine et l’Europe constituent les deux pays qui exportent le plus de produits textiles en 2009  comparativement au Canada qui se trouve au dernier rang. L’Europe se retrouve à la fois au premier rang à ce qui a trait aux importations et  le Canada parmi les pays qui importent le moins. Nous pouvons aussi remarquer que la majorité des pays en développement exporte beaucoup plus en 2009 qu’il en exportait les dernières années. Cela démontre que la mondialisation a fait en sorte qu’il y a eu une augmentation d'emplois au niveau mondial dans les pays qui exportent de grandes quantités de vêtements. D’autres données externes expliquent que le  secteur non structuré, dit non légal, produit un volume croissant d'emplois dans les pays en développement, en particulier dans les secteurs de l'habillement et de la chaussure. On calcule que le nombre total des employés qui travaillent dans le secteur que l’on appelle légal est estimé à 23,6 millions comparativement au secteur illégal où on estime que le nombre de travailleurs pourrait bien être de cinq à dix fois plus élevé. En résumé, à ce jour plus de 60 % des exportations mondiales de vêtements proviennent de pays en développement et l'Asie produit plus de 32 % de ce total ce qui fait de lui le plus grand fournisseur mondial. Avec une multitude de travailleurs autant illégaux que légaux à sa disponibilité, l’Asie peut en retirer un grand avantage sur les autres.

Des vêtements bon marché dans une gamme de bonne qualité

« En ce qui concerne l’habillement et les tissus de coton, les PMA se concentrent sur l’exportation de produits standard comme les T-shirts, les chemises d’homme et les toiles tissées et imprimées, dont le prix est le facteur de succès déterminant et pour lesquels une connaissance approfondie de la mode et des tendances des styles n’est pas essentielle. Pourtant, un changement s’est produit ces dernières années sur les marchés des pays développés, avec un rejet des importations bon marché et en faveur d’une mode plus chic, de meilleure qualité et plus personnalisée, le contraire des produits d’exportation des PMA. »
En résumé, beaucoup de pays se retournaient sur les vêtements bon marché, car il voulait demeurer compétitif sur le marché croyant que c’est ce que les consommateurs recherchaient, mais ils ont bien découvert que maintenant, les consommateurs recherchent plus la qualité et le style. Voilà que plusieurs entreprises ont dû changer leur manière de voir les choses et la manière de produire leurs vêtements. Étant donné que les pays se doivent de modifier des aspects de leur production de vêtements, il cherche plutôt à épargner sur les coûts de la main-d'œuvre. Ils se tourneront donc vers des pays comme le  Bangladesh, le Cambodge, Lesotho, Madagascar, Népal  ainsi que dans des zones extraterritoriales de Chine. La concurrence vient donc encore d’augmenter entre les pays, car ils doivent se spécialiser dans un aspect auquel ils ont moins l’habitude. La production de textile qui servira à l’exportation devra s’appuyer sur un contrôle de la qualité et la recherche de nouvelles conceptions. Il faut donc que les entreprises investissent sur la formation de leur main-d'œuvre et sur le développement de leur compétence si elles veulent être capables de bien percer sur le marché de la commercialisation du textile. Le textile est un commerce qui nécessite une grande souplesse, car les entreprises internationales doivent suivre les tendances, car ils se doivent de satisfaire la force demande sur les différents marchés.
Source information : http://www.forumducommerce.org/news/fullstory.php/aid/278/Textiles_et_v_EAtements.html

La fin des quotas dans l’industrie mondiale du vêtement

« Janvier 2005 a marqué la fin des quotas dans l’industrie mondiale du vêtement. Pour la première fois en 43 ans, les clients pouvaient choisir librement leurs lieux d’approvisionnement et leurs fournisseurs. L’énorme excédent de la capacité de production de vêtements, verrouillée par le système des quotas, pouvait enfin s’exprimer. Avec une capacité deux fois supérieure à la demande, l’industrie mondiale du vêtement s’est hissée sur le plus grand marché acheteur de tous les temps. »

Expliquons tout d’abord à quoi servaient ses quotas qui étaient imposés dans l’industrie mondiale du vêtement. Cela servait en fait au pays de protéger leur propre industrie en restreignant les quantités de textiles et de vêtements qu’il importe. Cette restriction imposée par L’ OMC qui est en fait l’organisation mondiale du commerce a remis en cause cette loi qui avait été implantée depuis des dizaines d’années. Les personnes qui dans cette situation en bénéficiaient, étaient les petites compagnies qui étaient moins compétitives sur le marché qui dans la majorité des cas se situait dans les pays en développement soient moins avancées et spécialisés que les grands pays développés. Il était difficile pour eux de se démarquer parmi des grands joueurs de l’industrie du textile. Mais étant donné que des millions d’emplois ont été perdus dans les grandes entreprises du à cette restriction, il a été préférable de tout simplement retiré cette loi.  Depuis 2005, les grands pays ont retrouvé la facilité de pouvoir s’approvisionner partout dans le monde. Bien évidemment, nous ne pouvons pas satisfaire à tout le monde dans cette situation. Les pays en développement retombent en arrière et redécouvrent la difficulté à laquelle il faisait face avant l’implantation des quotas. On ignore réellement l’impact que cela pourra leur apporter à plus long terme, car les textiles et les vêtements comptaient une grande partie des exportations de marchandises de ses pays.
Autre source d’information : http://excerpts.numilog.com/books/9264018549.pdf
Source photo : http://la-fee-patricia.fr/indien/?p=517

Une chaîne internationale de production de textile propre

Lorsque nous parlions d’un moyen plus écologique dans la production de textile voilà une entreprise qui a su se démarquer : la compagnie H&M. Sur le site même de l’entreprise, on explique leur implication pour l’environnement qui devrait inspirer des entreprises à suivent leur idée.
« Au fil des années, les auditeurs H&M ont effectué des visites dans différentes usines, évaluant les possibilités d’amélioration et démontrant les actions possibles à mettre en place. Les teintureries ont été incitées à définir des plans d’action sur les changements à réaliser. Les auditeurs H&M ont suivi leurs progrès et fait des suggestions si nécessaire. Nous avons suivi jusqu’ici environ 20 teintureries en Inde, en Chine et au Bangladesh. H&M a développé une vision à long terme de ce projet, avec l’idée qu’elle constituera une part permanente de nos efforts environnementaux dans la chaîne de production. »
Rien n’empêche qu’une entreprise aussi connue comme H&M  peur faire aussi sa part dans l’environnement afin de rendre l’industrie du textile plus propre. Si toutes les entreprises investissaient un certain montant d’argent afin de préserver l’environnement, cela serait déjà un grand pas permettant d’améliorer notre niveau de vie. Certaines compagnies donnent l’excuse qu’il est difficile d’avoir un contrôle sur la production de leur vêtement, mais bien évidement quand un seul morceau de vêtement passe par 5 pays différents avant d’être confectionner c’est différent. Pourquoi tant chercher à épargniez en sachant que cela à de grands effets négatifs sur l’environnement. Pourtant, la population devient de plus en plus consciente et désire poser des gestes afin de pouvoir aider à leur tour alors pourquoi les compagnies ne misent pas sur cet aspect afin d’attirer les consommateurs avec cette nouvelle vision. Alors, dites-moi pourquoi cette entreprise réussit à vendre ses vêtements  à de si bas prix en étant capable à la fois de se soucier de l’environnement comparativement à d’autres compagnies populaires qui vendent leurs produits excessivement cher sans avoir recours à cette valeur.


Une compagnie suédoise qui distribue à l’international.

La commercialisation dans l’industrie du vêtement se fait de plus en plus grande et de nombreux magasins distribuent leurs vêtements dans de nombreux pays permettant de se faire connaître, mais aussi de présenter la mode des autres pays permettant aux consommateurs de découvrir ce qui se passe partout dans le monde sans nécessairement s’y déplacer. Prenons l’exemple que la compagnie H&M qu’on apprécie particulièrement pas uniquement pour son côté écologique, mais aussi pour le style et les bas prix. H&M est fiers de son évolution au fil des ans et est heureux de voir que ses vêtements sont appréciés et populaire dans autant de pays aussi différents les uns que les autres.
«  H&M s'est considérablement développé au cours de ces dernières années et compte aujourd'hui un total de 2 200 points de vente environ répartis dans 38 pays.
L'Allemagne est notre plus grand marché, suivi de la Grande-Bretagne et de la Suède. Nous bénéficions encore cette année d'un fort potentiel d'expansion et de croissance. H&M inaugure une franchise au Moyen-Orient, à Dubaï et au Koweït, durant l’automne 2006. »
Cette compagnie augmente ses ventes d’année en année lui permettant de distribuer ses vêtements dans de plus en plus de pays. Leur principal objectif en tant qu’entreprise est d’offrir à ses consommateurs la mode et la qualité au meilleur prix. Il demeure très compétitif sur le marché et de plus en plus de clients à travers le mode achètent leurs vêtements. Au Canada, le premier magasin H&M a ouvert à Toronto en mars 2004 et a eu une entrée remarquée. Le canada constituait le deuxième marché après l’Europe et grâce à ce succès ils ont continué à se développer ailleurs dans le monde. La commercialisation permet donc à plusieurs entreprises de pouvoir favoriser leur économie sur de plus grand marché permettant à la fois d’en faire bénéficier les autres pays.

http://www.hm.com/fr/proposdehm/hmdanslemonde/amriquedunord/canada__worldofhm_countrycode_ca.nhtmll

Les enjeux environnementaux de l’industrie du textile

« Les phases de filature et de tissage sont consommatrices d'énergie, d'électricité. Les phases de teinture et d'ennoblissement utilisent principalement des produits chimiques, parfois nuisibles pour la santé, comme certains colorants azoïques cancérogènes, et polluants si les eaux usées n'ont pas été traitées. L’utilisation massive de ces produits a pour conséquence l’appauvrissement du sol, la résistance croissante des insectes ainsi que la pollution des eaux de surface et des nappes phréatiques. Outre les effets désastreux sur l’environnement, la contamination des eaux douces entraîne d’énormes dégâts sur la santé humaine dans les régions de culture».
Étant donné l’importance de cette industrie sur le marché avec plusieurs  fournisseurs qui se situent partout à travers le monde et de nombreuses étapes de confection qui nécessite beaucoup de main-d'œuvre, il serait difficile voir impossible de faire fonctionner cette industrie sans qu’il y ait des impacts sociaux et environnementaux. Étant donné que cette industrie est très compétitive, plusieurs industries de vêtements cherchent à prendre le dessus en produisant les produits les moins chers possible, mais cela cause une dégradation des conditions sociales et environnementales de la production. On pourrait parler aussi de mauvaises  conditions de travail, de bas salaires, de la toxicité des produits pour les employés et même pour le consommateur final. De plus, de nos jours,  toutes les étapes de fabrication du vêtement peuvent se faire dans plusieurs pays différents afin de diminuer les coûts, mais cela ne fait qu’augmenter  le transport et la pollution produite par celui-ci.  Pour ce qui est de l’impact sur l’environnement, nous pouvons prendre l’exemple du coton qui est un matériel très populaire dans l’industrie du textile, mais qui n’est pas du tout écologique. Sa culture  représente plus de 10% de la consommation mondiale de pesticides et ¼ des insecticides  ce qui est énorme. Effectivement, toutes les étapes utilisées dans l’industrie du textile ont beaucoup d’effet négatif, il s’agit maintenant de savoir comment nous pouvons diminuer leur effet. Avec toutes ses conséquences négatives sur l’environnement, je crois que de plus en plus d’industrie devrait penser à la confection et à la fabrication de vêtements écologiques. Voilà les nouvelles tendances.
Source photo : http://blog.benfakto.com/tag/jeans/

L’évolution de l’industrie du textile

L’industrie du textile a connu une grande évolution au cours des années surtout au courant du XIXe et XXe siècle et fait en sorte qu’elle est maintenant très industrialisée. La population entière fait  fructifier l’industrie du textile pour plusieurs raisons dont la principale est que cela est pour nous un besoin essentiel. Le textile est un besoin grandissant à travers le monde et se commercialise de plus en plus. Au 21e siècle, les produits textiles sont  pour l'essentiel des biens de consommations. Il existe tellement de compagnies de vêtements différentes, que tout le monde peut retrouver le produit qui lui ressemble et qui le satisfait. À un tel point que cette industrie  prend énormément de place sur le marché international. L'industrie du textile rassemble plusieurs étapes afin d’en arriver au produit final on y retrouve la conception, la fabrication et la commercialisation des textiles et donc, entre autres, de l'habillement. L’industrie du textile ne se déroule pas de la même façon dans chaque pays bien évidemment. En fait, les pays développés sont des importateurs de textiles et les pays en développement sont exportateurs. Chacun est dépendant des autres afin de faire fonctionner cette industrie. Certains pays ont même pris le dessus plus que d’autres faisant en sorte que cette industrie faite maintenant partit qu’une grande partie de leur revenu. Si l’industrie a évolué aussi vite en peu de temps, comment l’imaginez-vous dans quelques années?
Source photo : http://www.rfi.fr/actufr/articles/065/article_36281.asp